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Les Médias
IMPORTANT : toutes les "macronnades" sont sourcées, n'oubliez pas de cliquer sur les pastilles des différents médias.
des médias déconnectés
Des médias déconnectés qui "s'étonnent" de la colère des manifestants. Des médias déconnectés qui s'insurgent de la "violence" matérielle des gilets jaunes (casse de mobilier urbain) et qui ne voient pas la violence physique de la police. Des mutilés contre des vitrines cassées. Ce sont les manifestants qu'il faut punir ! Des médias déconnectés qui reprochent des paroles menaçantes mais qui n'entendent pas l'appel de Luc Ferry à tirer sur la foule. Des médias déconnectés qui ne pensent qu'à enfermer des gilets jaunes sans jamais condamner une seule fois la violence étatique qui est à l'origine du mécontentement. Des médias déconnectés qui veulent que les manifestations s'arrêtent alors qu'aucune revendication n'a abouti. Ce sont les gilets jaunes qui doivent rentrer chez eux et en aucun cas le gouvernement céder. Les gilets jaunes auront pourtant permis de dévoiler le véritable visage de notre démocratie autoritaire et violente, dans la rue pendant des mois, on compte les blessés et rien n'a avancé. Et enfin, le comble du paradoxe pour des médias qui s'offensent, s'offusquent et qui réfutent toutes violences mais qui célèbrent chaque année nos ancêtres qui se sont pourtant violemment révoltés contre l'injustice, c'était un 14 juillet... Symbole de la révolution française, devenu fête nationale...
Des médias déconnectés :
La violence légitime de l'Abbé Pierre : "Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette, laissant les assiettes des autres vides, et qui, ayant tout, disent : nous qui avons tout, on est pour la paix. Ce que je dois leur dire à ceux-là : les premiers violents, les provocateurs de toutes violences, c'est vous ! Et quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos enfants, avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscients que n'en n'aura jamais le désespéré qui a pris des armes pour essayer de sortir de son désespoir..."
2018 - 2019 - ...
julie graziani
Aux victimes de violences conjugales au SMIC : "Fallait pas divorcer !"
5 décembre 2019
apolline de malherbe
Les parents d'Apolline de Malherbe étaient sous le feu des critiques. En cause, l'attribution d'une aide financière via le loto du patrimoine pour la rénovation de la terrasse du château de Poncé dont ils sont propriétaires.
Quand Apolline accuse directement et sans aucune preuve Juan Branco d'être à l'origine de la diffusion de la vidéo "sextape" de Griveaux
17 février 2020
Mais aussi des Médias sous tension
les médias sous macron
« C’est plus difficile d’être journaliste depuis l’élection de Macron »
Onzième au classement mondial de la liberté de la presse en 2002, elle est désormais 32ème. Derrière la Namibie et Chypre, entre autres. « On considère que 32 sur 180 pays, ce n’est pas excellent du tout. Et c’est même très surprenant pour un pays comme la France »
16 septembre 2019
gaspard glanz, arrestation arbitraire ?
Le journaliste Gaspard Glanz arrêté arbitrairement le 2 octobre 2019 à Paris lors de la manifestation de la police ? Aucun fait ne lui sera reproché, le reportage montre que la police vient à deux reprises le chercher sans raison apparente au milieu de la foule.
La liberté d'aller et venir est une liberté fondamentale, celle de la presse également. La police ne devrait-elle pas s'expliquer ?
2 octobre 2019
intimidation des journalistes, la france épinglée
Dans un rapport de la Plateforme du Conseil de l’Europe, la France est longuement épinglée sur les difficultés éprouvées par les journalistes couvrant les manifestations, notamment celles des Gilets jaunes.
«De nombreux journalistes ont été victimes de menaces ou d’agressions de la part des forces de l’ordre, certains ayant souffert des blessures telles que des fractures de la main, des côtes cassées et des blessures au visage»
29 avril 2020
Affaire Legay: la police des polices traque les sources de Mediapart
La journaliste de Mediapart Pascale Pascariello, qui avait permis de démontrer les mensonges du président de la République dans une affaire de violences policières, a été entendue comme suspecte, mardi 26 mai, par l’IGPN. C’est la quatrième fois en moins de 18 mois que la justice essaye de s’en prendre aux sources de Mediapart à la suite d’enquêtes embarrassantes pour l’exécutif.